Le nom « Sainte-Gemme » reste aujourd’hui encore une énigme. Cette sainte, d’origine espagnole ou portugaise, fût martyrisée puis brûlée vive, au début du XIIe siècle car, convertie au christianisme, elle refusa d’épouser le seigneur romain désigné par son père.

Sous la Révolution, la paroisse s’appelait « Gemme-les-Brandes » car la bruyère y abondait parmi les ajoncs, les genêts et les fougères.

Aujourd’hui, le territoire, à caractère rural, étendu sur 4091 hectares, est propice aux cultures céréalières, à l’élevage et à la vigne. L’économie est complétée par un tissu d’artisans et d’entreprises.